Une universitaire défie la stigmatisation liée au genre et crée le changement pour les filles africaines

Je viens d'un pays où les hommes sont considérés comme des dieux sur terre - un pays où les femmes naissent et meurent dans la cuisine. Ce sont ces idées et cet espace limité réservé aux femmes de mon pays qui dévalorisent les contributions que les femmes peuvent apporter au développement de notre pays.

Mais imaginez un pays où les femmes institutionnalisées, défendues et bien développées sont amenées à diriger le pays. Ces femmes gouverneraient et ajouteraient à la tendresse de la nation. Comme le dit l'adage : éduquer un homme, c'est éduquer un individu, mais engager une femme, c'est engager la nation et les générations à venir. Je suis fermement convaincue qu'il est du devoir de chaque femme de s'engager et d'être un porteur de changement et de génération de penseurs.

Au fil des ans, j'ai eu l'occasion de travailler sur de nombreux sujets importants. J'ai été présidente d'un groupe, secrétaire générale, représentante d'une salle et je suis actuellement secrétaire générale d'un organisme sur le campus et membre du parlement dans la Junior Common Room de ma résidence universitaire. En tant que leader, j'ai toujours l'intention de donner un meilleur exemple à la génération suivante.

Cependant, il m'est arrivé d'être privée de mes droits à instaurer un changement dans le cœur d'autres jeunes femmes et dans le monde en général, en raison de la stigmatisation liée au fait d'être une femme. Bien que je serve de modèle à ma communauté et à mes amis en général, je suis parfois considérée comme une femme qui veut prendre la place des hommes.

Je suis une femme passionnée par la création de changements positifs et le développement.